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 Artil - There’s beauty in suffering

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Artil Fanen
« Satan »

age : trente et un an physiquement, trois centre soixante-deux autrement.
date et lieu de naissance : dix-huit janvier de l'an mille six cent cinquante-quatre, dans la ville de Londres en Angleterre.
origines : en provenance directe des Enfers, bien que physiquement il ressemble à n'importe quel homme d'Amérique du Nord ou d'Europe de l'Ouest.

race : Démon.

statut marital : célibataire
orientation sexuelle : bisexuel

emploi/études : technicien de laboratoire d'analyser, assez idéal en somme pour connaître l'identité physique, et choisir les plus faibles du lot.
statut social : dans la moyenne nationale, bien qu'il ne soit pas le plus à plaindre.




Brett Dalton © Lya

famille, proches et amis

Remontant jusqu’à Londres, oui, Artil avait une famille ; une belle famille, idéale avec un père, une mère, une petite sœur et un grand frère. L’incendie de Londres en 1666 aura tout détruit de la belle famille, tout sauf Artil et sa petite sœur Eden. Et pourtant, on lui arracha cette dernière aussi. Il n’avait plus rien, plus aucune attache. Rien. Seul. Restant la plupart du temps à l’abri des regards. En famille éloignée, Artil avait plusieurs cousins, il n’aura pourtant pas cherché à retrouver leur trace, tout juste s’il se rappelait de leur existence. N’étant pas un bavard, Artil n’aura eu que peu de contact, et pour la majorité, ils étaient purement professionnels, ou simplement qu’ils pouvaient lui apporter quelque chose. Artil aura aussi eu une famille à lui, une femme, deux enfants ; mais il aura perdu contact avec eux à se mort. Secrètement, il a toujours souhaité savoir ce qu’été devenu ses fils, et une ouverture des portes pourra peut-être permettre de retrouver ses descendants, et de tenter de les garder auprès de lui, dans la pénombre des Enfers.
Mais pour son hôte, Artil a tenté de le faire se rapprocher un maximum de lui-même, une personne un peu distante, ayant une unique petite sœur. Et ironie du sort, cette petite sœur s’appelle Eden elle aussi.

le surnaturel

Il n’était qu’évident qu’à la mort d’Artil, ce dernier parte tout droit en Enfer. Bien peu de temps ont suffi à son âme pour se transformer en Démon.
L’Enfer est le seul lieu surnaturel qu’Artil a pu visiter. Faisant de lui l’un des nombreux fils de Satan, vivant et se nourrissant par les émotions telle que la peur, l’angoisse, ou encore la colère des êtres manipulés ; ce qu’il d’ailleurs est l’un des principaux talent d’Artil, pousser les êtres à avoir peur, s’imaginer toujours plus effrayant… La manipulation mentale. Tout comme la télékinésie ; tout ce qui consiste à penser par le mental, et non par le contact physique, Artil y est plutôt bon. Néanmoins, il n’est pas réputé pour posséder une grande force. Il sera se débrouiller tout de même, mais en singulier contre un autre être surnaturel, il aura du mal à prendre le dessus sans user de télékinésie ou de manipulation mentale.
Si vous le questionniez par rapport aux autres créatures, il vous dira qu’il en aura entendu parler. Il n’est pas non plus ignorant, et sait très bien qu’un Purgatoire existe au fin fond des Enfers, il sait très bien que les pouvoirs dits surnaturels sont présents partout, et qu’un certain équilibre entre les créatures doit bien exister. Il ne vous en dira pas plus. Aussi parce qu’il ne cherche pas à en savoir plus, et qu’il garde beaucoup de choses pour lui.


de l'autre côté
Orgueil
age : What a Face
disponibilités : quotidienne.

forum découvert via : la pub sur PRD !
commentaires, suggestions : le concept est juste génial !

personnage : inventé.
©️light and darkness



Dernière édition par Artil Fanen le Mar 23 Fév - 1:07, édité 13 fois
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La Biographie



Ils étaient tous si ignorants, si simple, si faible d’esprit. Leur vie ne tenait qu’à un cheveu, et ils ne se rendaient pas compte que lui, en une fraction de seconde pouvait tout réduire. Mais aujourd’hui, ce n’était pas lui qui l’avait décidé, l’autre allait mourir et c’était son choix. Stupide humain. Comment cet humain avait d’ailleurs pu entrer en contact avec lui, Démon qu’il était ? Quoi qu’il en soit, il se trouvait devant lui, on aurait qu’il suffisait d’un pas pour que cet humain parte en courant, telle une poule mouillée. Il avait peur, Artil le sentait, et fit naître un sourire mauvais sur sa bouche. Et d’un ton sec, Artil prononça le premier mot, parce qu’il fallait bien démarrer la conversation, et poule-mouillée n’allait certainement pas la commencer lui-même. « Parle ! » Poule-mouillée déglutit, bafouilla. L’entité attendait, patient, savourant chaque parcelle d’angoisse et de frayeur de l’humain. Quel doux spectacle ! « Je… Vous pouvez m’aider… » Oh, mais oui trésor, Artil peut t’aider, mais tout à un prix, tu dois le savoir. L’envie d’Artil ne se fit que plus pressante, lorsqu’il répondit à l’homme qui devenait de plus en plus livide à chaque seconde. « En quoi puis-je t’être utile ? » L’homme baissa la tête. Fragile. Artil le regarda de haut, un air toujours plus machiavélique, si seulement les humains arrêtait de s’apitoyer sur leur sort. « Elle va mourir… » Artil s’approcha de l’homme, et lui murmura à l’oreille :
« Je sais. Elle va mourir. Et tu l’as verras mourir, tu l’as verras, et tu ne pourras rien faire. Tu le sais. C’est pour ça que tu viens vers moi. Et tu penses que je vais t’aider ? » Artil n’aiderait aucune l’homme, ce n’était pas dans son état d’esprit. D’autant plus, est-ce qu’on l’avait aidé lui ? Non, alors il n’aiderait personne.

ዾ Londres, 1666. « Les orphelins Fanen », deux nouveaux parmi les nombreux autres. Les deux se tenaient l’un contre l’autre devant les restes calcinés de ce qui étaient avant leur maison familiale. Comment avaient-ils pu survivre alors que le reste de leur famille y avait péri ? La question resta en suspens, pendant qu’Artil, serrait sa petite sœur larmoyante contre lui. Douze et neuf ans, est-ce un âge normal pour vivre un pareil événement, même en mille six cent soixante-six ? La réponse est bien entendu négative, et le traumatisme restera pour toujours encré dans les têtes des deux jeunes enfants. « Eden, je te promets d’être toujours-là pour toi, tu m’entends ? Personne ne nous séparera, personne ».

« Je… pensais. » Imbécile. Dis ce que tu as sur le cœur, tu ne veux pas hein ! Tant pis, Artil le sait, il n’a pas besoin de t’entendre le dire. Tu n’as pas envie de te retrouver seul, hein. Tu ne veux pas te séparer d’elle. D’un geste vif, Artil donna une grande claque à l’homme qui se retrouva au sol. La frayeur s’inscrit encore plus grande dans les yeux de l’humain. Artil s’accroupit pour se placer face à lui. « Ne pense pas, ne pense rien. Relèves-toi. De suite ! Et dis-moi réellement pourquoi tu veux que je t’aide. »

ዾ  Campagne londonienne, janvier 1667. Etre orphelin est mauvais. Prit de force par un homme louche, les deux Fanen devinrent les deux esclaves attitré d’un commerçant aux activités plus que douteuses. Ils étaient battus, effectuaient des tâches épuisantes, ils étaient fatigués et au bord du gouffre. Comme si le traumatisme de l’incendie ne les avait pas assez affectés, il fallait en plus que cet odieux en rajoute une couche. La cruauté fut accrue quand le commerçant sépara Artil d’Eden. Emportant cette dernière on ne savait trop où. Le mental d’Artil déraillait peut-à-peut. Si on lui supprimait tout, à quoi allait-il pouvoir s’accrocher ? « Eden, je tiendrais ma promesse, personne ne nous séparera. »

L’homme au sol ne daignait lever les yeux, c’est à peine s’il osait respirer. Artil sentait qu’il regrettait d’être venu, et que tous ces os étaient paralysés par la peur… à moins qu’il ne s’agisse de la frayeur. Maintenant, l’un comme l’autre connaissait la fin fatidique de cette rencontre. Exprimé ainsi, on pourrait donner une dimension héroïque à cette mort, mais rien ne le méritait. Aussi bien la victime, qui allait trouver la mort de par ses sentiments, que le tueur, qui lui était un véritable sanguinaire qui ne méritait aucunement d’exister.
Artil se pencha progressivement vers l’homme, jusqu’à lui chuchoter, avec un air sadique et satisfait sur le visage, quelques mots, incompréhensible si on n’était ni le démon, ni la victime.

ዾ Campagne londonienne, mars 1669. Il courait, il courait, s’enfonçant à travers l’épaisse forêt, de chaudes larmes coulaient en continu le long de ses joues. Mais il ne se retournait pas, jamais, à aucun moment. Il aurait pu courir longtemps ainsi, mais l’épuisement le gagna. Et il était perdu. Il avait tellement couru qu’il ne savait même plus où il était. Il leva la tête, le crépuscule arrivait. Et dans l’état où il se trouvait, personne ne l’accueillerait à bras ouvert… Personne… Sauf… Cette bande de maraudeur. Il les avait entendus soudainement ; à moins que ça soit eux qui l’ai repéré à lui ? « D’où sors-tu ? Et c’est quoi… ça ? » Ils pointaient tous le doigt vers lui, couvert de sang. Artil se souvient  plus ou moins leur avoir répondu qu’il avait abattu quelques cochons, où quelque chose qui y ressemblait. Mais ce dont il savait, c’est que ce sang provenait en grande partie du marchand… Et de sa sœur. Il ne fallait pas de témoins, pas même sa sœur. Étrangement, il avait pris une certaine joie à faire ceci, bien que ça lui laisse une pensée amère de se le dire.

C’est relativement rapidement qu’Artil mit fin aux jours de cet humain. Il aurait pu s’amuser plus longtemps avec lui, mais il n’en avait pas envie aujourd’hui, en plus l’humain était fragile et faible, ça n’était aucunement drôle. Demain on retrouverait un nouveau cadavre, et une fois de plus on se demanderait qui est l’auteur de ces horreurs. La peur et l’affolement monterait d’un cran au prochain réveil de la ville. Rien de se l’imaginer, Artil s’en amusa. Puis, telle une personne tout à fait normale, Artil retourna à ses occupations « d’humain ».

ዾ Londres, jusqu’à la mort en 1690. Il avait marché avec des maraudeurs, où ces personnes qui « nettoie d’intrus » les forêts, où « chassent les primes », prenant peu à peu leur mode de vie.
Oh, ça n’avait guère duré plus de deux ans. Il était ensuite retourné en ville, chercher un travail plus… dans les normes. Néanmoins, il comprit rapidement que ce genre de travail ne lui serait d’aucune aide pour subsister à ces besoins. Devenant peu à peu tueur à gage, autant pour sa paume que pour celle des autres si on le lui demandait. Il était froid, et presque sans aucune émotion, même avec la famille qu’il avait réussi à créer.
Un jour, celui de la fin, suite à un échec de mission, et se savant perdu, il préféra rester dans la chambre d’hôtel de son « client » (le traître, si Artil lui remet le doigt dessus, ce n’est pas qu’un simple mauvais quart d’heure qu’il passera !), et se jeter du haut de la fenêtre aux dernières secondes de sa vie, en écrivant ces derniers mots « Vous m’aurez mort, jamais vivant. »

questionnaire

alors que vous rentrez tard un soir, vous entendez des pas derrière vous. Vous jetez un oeil et vous vous rendez compte que quelqu'un vous suit, que faites vous ?Seul, dans une rue mal éclairée et peu recommandée, il est très fréquent d’être suivit par un bonhomme plutôt louche. C’est d’ailleurs ce qu’Artil s’amuse à rechercher par moment. Quoi de mieux que d’attendre ce voyou, et le surprendre à son propre jeu ? Oh, commencer par rentrer dans son jeu au début, puis progressivement le dominer. Se plonger dans certains de ces souvenirs les plus ancrés dans sa mémoire, et finalement l’entraîner dans une ruelle encore plus déplaisante. Et lui faire subir quelques… mésaventures. Un jeu de torture, autant mentale que physique qui ne fait que croître par la peur et l’angoisse de la victime. Le laisser penser aux pires scénarios… A la mort qui le guette. Mais finalement, le laisser en vie, l’abandonnant à demi-conscient ; et apprendre le lendemain qu’un nouveau cas a été admis à l’hôpital psychiatrique.
Mais ceci, seulement si la personne qui le piste se décide à « l’attaquer », inutile de s’user inutilement pour un faible qui n’ose pas tenter sa chance sur un type qui visiblement ne connaît pas spécialement les lieux… Du moins extérieurement.
©light and darkness




Dernière édition par Artil Fanen le Mar 23 Fév - 0:47, édité 6 fois
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Ezio Romanelli

Ezio Romanelli

« Vampire »

En ville depuis le : 08/02/2016
Aventures : 108
Pièces d'or : 3071
Célébrité : Zayn Malik.
Crédits : Tumblr & Snape.
Rps : Disponible pour deux rps.

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Age : 1961 ans, 22 ans physiquement.
Statut : Célibataire, j'ai d'autres choses à faire et à penser.
Métier : PDG d'une entreprise de traitement des Humains.

Forces : - Immortalité, force, vitesse, sens et réflexes surdéveloppés.
- Régénération.
- Faculté à marcher sur les murs et plafonds.
- Transformation en hybride chauve-souris/vampire.
- Hypnose et télépathie.

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Bon courage pour la suite de ta fiche Artil -  There’s beauty in suffering 2147823155
Si t'as un soucis n'hésites pas !
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bienvenue encore une fois sexy toi I love you
bon courage pour ta fiche Artil -  There’s beauty in suffering 3249893135
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coucou petit démon ! :3
bienvenue à toi et bonne
chance pour l'écriture de
ta ficheuh' ! <3
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Merci à vous tous Artil -  There’s beauty in suffering 2147823155
Quel magnifique accueil ici ! ♥️
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Ezio Romanelli

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Félicitation


Te voilà validé ! Tu peux maintenant commencer à rp sur le forum. N'oublies pas de poster ta fiche de liens qui te permettra de te faire de nouveaux amis ou ennemis, ainsi que ta fiche de rp. Si le cœur t'en dis, tu peux aussi créer deux personnages importants pour ton personnage juste ici ! Lorsque tu souhaiteras t'améliorer, je te conseille de te rendre à la boutique. Et enfin, si tu souhaites aider le forum à grandir et se faire connaître, n'hésites pas à voter !

N'oublies pas que même validé, si tu as la moindre questions, le staff reste à ta disposition.
Bon jeu parmi nous.  
©light and darkness


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